L'état de grâce

Photo © Pasquale Stalteri / www.miroirducyclisme.ca
ENFIN!!

J'y suis. Le moment de l'année que tout sportif d'endurance attend impatiemment: Les quelques semaines où il est super motivé, qu'il dors 7h par nuit, se lève parfaitement en forme, enchaîne un entraînement difficile après l'autre comme si de rien n'était.

Bref, une petite gloire éphémère.

Comment savoir que c'est arrivé? Pas difficile.

Une semaine de fou avec des allez-retour à Lac Mégantic pour le travail n'a aucunement affecté ma forme pour le challenge O2 dimanche dernier.

Deux jours plus tard, j'étais aux mardis cyclistes de Lachine et j'ai pu rouler fort pour J-F Laroche. Normalement, 2 jours après un aussi long triathlon, je dors 12 heures durant une semaine.

Hier, je nageais comme un saumon qui fraye.

Aujourd'hui, j'étais dans les 400 watts sur mes intervalles de vélo.

En plus, mon pied ne fait plus très mal.

Devinez quoi, on est le 18 juillet. Un mois avant le jour le plus important du monde... En ce qui me concerne!

La caméra a commencé à me suivre. Voici la bande-annonce de la production être Ironman. Elle circule depuis hier, mais au cas où vous l'auriez manqué...

Tout va bien. Si j'étais Brice de Nice, je dirais que c'est la plus belle vague de la saison. Maintenant, il faut surfer dessus pendant un mois...

Prudence.

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