La fragilité du sportif
http://www.vmqca.qc.ca/chroniquesdegilles/2009/01/20090121.html
Ça fait toujours chaud au coeur de voir qu'un gars à qui j'ai pris une heure d'avance sur un raid de 4h se considère "pas trop mauvais" dans ce type d'épreuve... Bon, ce fut quand même ma plus grande victoire à vie devant "la terreur' Jonathan Boucher.
Effectivement, il a tout le mérite d'avoir completé le 90 km du Tour du Mont-Valin. C'est pas une course de tappette. "Les défis sont très présents et les bourbiers, absents", comme dirait le slogan du Tour. J'ignore c'est quoi, un bourbier.
Pour mon humilité sportive, on repassera. Il faut plutôt dire que l'histoire de Philippe, que je ne connais que pour lui avoir serré la main sur ce podium, est très touchante et rappelle à quel point le sport est un privilège et que cela peut s'arrêter très abruptement.
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